Le gel stimulant et l'histoire de la dysfonction érectile : quelles leçons en tirer ?
Grâce à sa composition naturelle à base d'extraits végétaux, un gel stimulant naturel devrait permettre d'augmenter la sensibilité de la zone érogène tout en respectant la santé de cette partie délicate du corps. Une seule goutte appliquée sur le clitoris avec le doigt apporte une sensation de chaleur, idéale pour les personnes ayant une sensibilité réduite, offrant une stimulation supplémentaire qui peut amplifier leur excitation naturelle.
Contrairement aux produits à base d'ingrédients chimiques, ce gel stimule en douceur la zone érogène tout en préservant l'équilibre naturel du pH. Les extraits végétaux, tels que l'extrait de fleur d'acmella et les huiles essentielles, de romarin et de menthe poivrée favorisent la circulation sanguine et augmentent la sensibilité pour une stimulation accrue. De plus, les propriétés hydratantes et adoucissantes de l'huile d'amande douce offrent une expérience plus confortable, sans risque d'irritation ou sensation de brûlure.
Avons-nous vraiment besoin d'un gel stimulant ?
Chez IntyEssentials, nous réfléchissons souvent aux problèmes et inconforts intimes rencontrés par les personnes à vulve, qui les poussent à consulter un·e professionnel·le de santé. Au fil des années, nous avons observé un déséquilibre frappant dans le nombre d'essais cliniques et de recherches menées au sein de la communauté médicale. En effet, la dysfonction sexuelle des personnes à pénis (comme la dysfonction érectile) fait l'objet de plus de cinq fois plus d'essais cliniques que les dysfonctions sexuelles touchant les personnes à vagin, telles que la vulvodynie, le vaginisme ou encore la dyspareunie.
Il est pourtant important de rappeler qu’il y a seulement une vingtaine d’années, les mêmes tabous entouraient les troubles sexuels des personnes à pénis. Dans les années 1990, lors du développement du Viagra, de nombreuses personnes au sein de Pfizer s’opposaient au projet. Certain·es le jugeaient immoral, tandis que d’autres pensaient que le tabou entourant ces troubles empêcherait les gens d’en parler ou même d’acheter le médicament. Certains législateurs et groupes religieux avaient également manifesté leur opposition, estimant que le problème n’était pas légitime.
Comme l’expliquait un des partisans de Pfizer à l’époque, « il était difficile pour beaucoup de gens d’avoir des conversations sur les médicaments pour la dysfonction sexuelle ».
En 2024, les discussions autour des troubles sexuels des personnes à vulve en sont à peu près au même stade que celles concernant les troubles de l’érection dans les années 1990. Il est donc grand temps de briser ce silence et de proposer des solutions adaptées.
La différence entre la naissance du Viagra et le manque flagrant d'attention portée aux troubles sexuels féminins
Le Viagra a d’abord été testé pour traiter les douleurs thoraciques, et c’est par hasard que l’on a découvert son effet sur la dysfonction érectile – un "effet secondaire" inattendu. À l’époque, il y avait peu de données sur le besoin de médicaments pour traiter ces troubles, bien que des cas individuels aient été rapportés. Aujourd’hui, on estime que la dysfonction érectile touche environ la moitié des hommes de plus de 40 ans, ce qui a permis de reconnaître le Viagra comme une solution à un problème identifié.
Pourquoi cet écart persiste-t-il ?
L'une des principales raisons de cette inégalité est liée au fait que l'histoire de la médecine a été essentiellement axée sur les besoins masculins, reléguant ceux des femmes à l'arrière-plan. La sexualité féminine a longtemps été entourée de tabous, et la douleur ou l'inconfort intime des femmes et personnes à vulve a souvent été considéré comme « normal » ou simplement ignoré. En revanche, la dysfonction érectile a rapidement été considérée comme un problème de santé publique, justifiant des investissements considérables et des recherches approfondies. Cela a conduit à un marché saturé de solutions pour le bien-être sexuel masculin, tandis que la population féminine continue, pour la plupart, à souffrir en silence.
Les conséquences pour la santé des femmes
Cette indifférence a de graves conséquences sur la santé sexuelle et le bien-être des personnes à vulve. En effet, eviron trois femmes sur quatre souffriront de douleurs sexuelles à un moment ou à un autre de leur vie, qu'elles soient occasionnelles ou chroniques. Pourtant, ces problèmes sont souvent passés sous silence et de nombreuses femmes hésitent à demander de l'aide, par peur d'être jugées ou par manque d'informations claires et accessibles. Au-delà de la douleur physique, l'absence de solutions adéquates pour traiter ces troubles a également un impact sur leur épanouissement sexuel et affectif.
Les stimulants naturels pour le clitoris : une solution sous-estimée
Face à ce fossé, les stimulants clitoridiens naturels représentent une alternative saine et efficace pour les personnes qui souhaitent stimuler leur plaisir sans compromis pour leur santé. Alors que des millions d'hommes disposent de traitements efficaces pour leurs troubles sexuels, les options équivalentes pour les femmes restent limitées. Les stimulants naturels, souvent formulés dans le respect du corps, apportent une réponse concrète à cette lacune flagrante du marché.
Le concentré stimulant par IntyEssentials a d'ailleurs été spécialement conçu pour les personnes à vulve. Il est est exempt de perturbateurs endocriniens et de composants irritants que l'on retrouve généralement dans les produits classiques et il respecte l'équilibre délicat de la zone intime, tout en offrant une stimulation clitoridienne efficace et en assurant une hydratation et un confort optimaux en bonus. Cette solution naturelle conçue pour booster le plaisir constitue une véritable alternative aux produits plus conventionnels, souvent inadaptés aux besoins physiologiques spécifiques des femmes et souvent irritants.